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C’est une nouvelle ère qui s’ouvre pour les petites, moyennes et entreprises intermédiaires en France. Lors de la deuxième édition du Baromètre EY, il en ressort clairement que de nombreuses PMI et ETI ont revu leurs objectifs à la hausse et se sont lancées de nouveaux objectifs sur les 12 prochains mois à venir.


Les entreprises françaises très optimistes sur leur avenir

Une augmentation du chiffre d’affaires

Cette nouvelle année commence bien pour de nombreux chefs d’entreprises qui se nourrissent d’optimisme. Avec la venue de nouveaux investisseurs sur le sol de l’hexagone, les affaires reprennent un nouveau souffle. Après analyse des PME (petites et moyennes entreprises) et des ETI (entreprises de taille intermédiaire), il en ressort que plus de 90% de celles qui ont été sondées espèrent voir leur chiffre d’affaires augmenter de plus de 6% pendant les 12 prochains mois d’activités. Alors que la majorité d’entre elles sont dans l’optimisme, plus de 31% de ces entreprises anticipent une montée de 11% sur leurs activités annuelles. Certaines d’entre elles nourrissent l’ambition de s’étendre sur de nouveaux cieux afin de proposer des services innovants au reste du monde. L’expansion internationale vient comme priorité dans l’ordre du jour de nombre de ces entreprises.


Les avancées technologiques, un facteur de développement

Aujourd’hui, tout le monde ne parle que de l’IA, l’intelligence artificielle qui est un vecteur de développement dans la croissance des entreprises. Longtemps à la traine, ces dirigeants d’entreprises françaises tablent sur l’utilisation des nouvelles technologies pour amorcer un véritable développement. Dans les 24 mois prochains, ils sont plus de 4/5 de ces chefs d’entreprises qui prévoient investir dans l’IA afin de développer leurs activités. C’est d’ailleurs une victoire considérable puisque l’année passée, plus de ¾ de ces entreprises ne voulaient pas tenter cette expérience. En revanche, même si de nombreuses entreprises veulent opter pour cette nouvelle technologie, plus de la moitié des PME et ETI ne disposent pas de toutes les ressources financières disponibles pour entamer ces changements. Par contre, c’est un domaine nécessaire dans lequel elles devraient investir si elles veulent concurrencer leurs sœurs européennes qui ont déjà de grandes parts sur le marché.


Des barrières au recrutement des compétences

De nombreux facteurs peuvent remettre en cause le recrutement de la ressource humaine qualifiée et compétente qu’il faut pour assurer le développement technologique de ces PME et ETI. La difficulté de recruter la ressource humaine compétente est l’un des critères majeurs qui pourraient freiner ce développement technologique. C’est ce que prouvent les enquêtes qui ont permis d’interroger  plus de 30% des chefs d’entreprise qui pensent que la ressource humaine qualifiée est un vecteur de croissance économique. Pour arriver à gérer cette situation, plus de 50% des dirigeants d’entreprise pensent tabler sur la diversité des talents provenant de plusieurs parties du monde. Le commerce international et le multilatéralisme de nouvelles pistes à explorer pour obtenir des ressources humaines compétentes. Cependant, ces chefs peuvent aussi tabler sur des emplois partiels ou sur des missions temporaires qu’ils peuvent octroyer à certaines ressources compétentes faute de moyens et de ressources financières. 




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